A travers une discussion avec son meilleur ami, Tohar retrace les moments de sa vie après avoir quitté sa colonie en Samarie pour s'installer à Tel-Aviv, renonçant par la même occasion à la foi et à ses traditions. Dans une sorte de crise d'angoisse prolongée, elle évoque les questions existentielles et générationnelles qui la préoccupent : la féminité, le travail ou encore la dépression.