Influencé par un groupe de faux amis et par les discours ambiants sur les réseaux, Édouard a commis un crime haineux et doit maintenant faire face aux conséquences de ses actes. Heureusement pour lui, le procureur en charge de son cas se montre clément : s’il peut démontrer qu’il comprend la gravité de ce qu’il a fait, Édouard peut encore éviter un séjour en centre jeunesse. Accompagné de son beau-père Lorenzo, petit-fils d’immigrants italiens, Édouard remonte la généalogie familiale jusqu’aux premiers jours du fascisme, dans une Europe mise sens dessus dessous par un certain Benito Mussolini. Un récit en deux temps qui révèle d’inquiétants échos entre le passé et l’époque actuelle.